Fourchafoin

1849 : Angers - Paris en 8h ! Un train qui entre en gare St Laud avec "la rapidité de la foudre" ! La journée du 29 juillet 1849 marquera dans les annales de notre pays comme un de ces souvenirs qui ne s'oublient point et qui se transmettent de génération...

Abuter arriver au but Affoler, foleyer s’affoler, perdre la tête Cabanier roulottier, saltimbanque Chin chien Cruchon benêt, gourde Crouillé verrouillé, fermé Déberloqué disloqué, en mauvais état Discampette (prendre la) prendre la fuite Dormâille somnole...

Samedi dernier, l'association des Amis du Folklore et des Parlers d'Anjou s'est réunie pour sa traditionnelle ressiée de rimiaux précédée d'un déjeuner. En voici 2 comptes rendus parus dans les journaux du Courrier de l'Ouest et de Ouest France du 1er...

Mais qu'est-ce qu'une ressiée ? Messieurs Verrier et Onillon dans leur glossaire de 1905 écrivent : "l'après-midi, la soirée (...) c'est la collation que faisait nos pères à 4 heures, et le temps qui s'écoule de 4 heures jusqu'au soir. Ce terme est usité...

Jeudi 12 mars Les membres du groupe Encre interprètent des poèmes extraits du dernier recueil "Entre Autres", dans un spectacle poétique et musical Publication by Printemps des poètes Angers 2015.

Publication by Printemps des poètes Angers 2015.

Je reprends ici le titre de l'article paru dans le journal "Vivre à Angers" de mars 2015. Le groupe Encre dont je suis membre actif en tant que poète patoisant et interprète, est cette année encore très présent pour cette nouvelle édition du Printemps...

Le collectif Printemps des Poètes d'Angers, avec le soutien de la ville d'Angers, vous propose, du 7 au 22 mars 2015, à l'Hôtel des Pénitentes 23 bd Desgazeaux, une exposition (peinture, gravure, sculpture, tapisserie ...) et des animations autour le...

Du 7 au 22 mars, la poésie s'invite à Angers "Pour illustrer l'insurrection poétique de cette 17ème édition, un groupe d'artistes angevins a décidé d'occuper l'Hôtel des Pénitentes pendant toute la durée du Printemps des poètes. Menée grâce à un collectif...

Je laisse à nouveau la parole à Emile Joulain, qui écrivait en 1957, dans sa rubrique "On s'cause en patoës" : J'espère avoir prouvé que le patois n'est pas une caricature de la langue nationale, le français vu dans un miroir déformant; mais bien le vieux...